Peu en Centrafrique n’ont lu, ou simplement n’ont su comment était prévu le déroulé du processus du Forum de Brazzaville des 21-23 juillet 2014.
Car cela aurait évité bien des agitations inutiles.
Car cela aurait évité bien des agitations inutiles.
Instaurée conjointement par l’Union Africaine, la CEEAC, les Nations Unies et l’Union Européenne, le prochain Forum décidé pour se tenir à Brazzaville, la ville résidente du médiateur sous-régional de la crise se veut en priorité être une opportunité de dialogue DE entre les acteurs en conflit dans la crise centrafricaine, au constat de la faillite des actions politique locales de résolution.
Le Forum de Brazzaville doit se dérouler en 3 phases :
1 - Obtention d’un cessez-le-feu préalable à toutes les action politiques ultérieures.
Ce sera le menu des assises des 21-23 juillet 2014 à Brazzaville.
Ce sera le menu des assises des 21-23 juillet 2014 à Brazzaville.
2 - Seconde phase, tenue d’Assises politiques bilan en territoire centrafricain consistant à évaluer la transition politique et tous les autres sujets afférents par le dialogue inter-centrafricain.
3 - Dernière phase, toujours en territoire centrafricain qui consistera à déclencher le processus du DDR (Désarmement, Démobilisation Réintégration).
Commentaire de Basile Ikouébé, ministre congolais de Affaires étrangères en charge de la préparation de ce Forum :
« Les pays de la sous-région ne sont que des facilitateurs. La parole revient en premier lieu et au dernier ressort aux Centrafricains.
la convocation d’un dialogue inter-centrafricain à Brazzaville n’est pas pour la sous-région une manière de braver la souveraineté du pays. Bien au contraire, il s’agit d’une occasion offerte aux protagonistes de se retrouver sur un terrain neutre, autour d’une même table, et de discuter franchement. Après Brazzaville, le plus grand travail se fera en Centrafrique.»
« Les pays de la sous-région ne sont que des facilitateurs. La parole revient en premier lieu et au dernier ressort aux Centrafricains.
la convocation d’un dialogue inter-centrafricain à Brazzaville n’est pas pour la sous-région une manière de braver la souveraineté du pays. Bien au contraire, il s’agit d’une occasion offerte aux protagonistes de se retrouver sur un terrain neutre, autour d’une même table, et de discuter franchement. Après Brazzaville, le plus grand travail se fera en Centrafrique.»
© Juillet 2014 LNC
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