CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - La Confédération syndicale des travailleurs du Congo (CSTC), la Confédération syndicale congolaise (CSC) et la Confédération des syndicats libres et autonomes du Congo (COSYLAC), en partenariat avec la Confédération syndicale internationale, zone Afrique (CSI-Afrique), organisent du 12 au 15 juillet à Brazzaville un atelier sur l’audit participatif du genre.
Animé par la responsable de développement égalité et protection sociale à l’Organisation régionale africaine de la CSI-Afrique, Ghislaine Saizonou, l’atelier sur l’audit participatif genre constitue un outil permettant aux responsables syndicaux de faire une introspection sur le chemin parcouru en tant que mouvement syndical par rapport à l’intégration de la dimension de genre dans leurs activités.
D’après Mme Saizonou, il s’agit de jauger les forces en place ou des éventuelles faiblesses afin de les corriger pour que la notion du genre trouve toute sa place dans le monde du travail.
«Les responsables de la CSTC, CSC et COSYLAC ont constaté à un moment donné que les femmes n’étaient pas suffisamment impliquées dans le mouvement syndical et qu’on ne faisait pas assez attention à la notion d’égalité. Le moment est donc arrivé pour faire émerger toutes ces femmes qui accompagnent les hommes dans le mouvement syndical. Nous avons des règles, des normes, il y a beaucoup d’instruments au niveau international», a-t-elle indiqué.
De son coté, le secrétaire général de la CSC, Daniel Mongo, a rappelé qu’il existait un peu partout dans le monde du travail des inégalités à l’endroit des femmes en ce qui concerne les diplômes et les salaires. Au Congo, ces inégalités de diplômes et de salaires, dans le monde du travail, n’existent pas entre les hommes, les femmes et les jeunes travailleurs.
«Au Congo, à diplôme égal, salaire égal ou à qualification égale, salaire égal. Nous sommes convaincus que l’attente de tous sera effective», a-t-il signifié.
L’audit participatif va sans nul doute permettre au mouvement syndical d’aider les gouvernements et les employeurs à intégrer la dimension de genre.
D’après Mme Saizonou, il s’agit de jauger les forces en place ou des éventuelles faiblesses afin de les corriger pour que la notion du genre trouve toute sa place dans le monde du travail.
«Les responsables de la CSTC, CSC et COSYLAC ont constaté à un moment donné que les femmes n’étaient pas suffisamment impliquées dans le mouvement syndical et qu’on ne faisait pas assez attention à la notion d’égalité. Le moment est donc arrivé pour faire émerger toutes ces femmes qui accompagnent les hommes dans le mouvement syndical. Nous avons des règles, des normes, il y a beaucoup d’instruments au niveau international», a-t-elle indiqué.
De son coté, le secrétaire général de la CSC, Daniel Mongo, a rappelé qu’il existait un peu partout dans le monde du travail des inégalités à l’endroit des femmes en ce qui concerne les diplômes et les salaires. Au Congo, ces inégalités de diplômes et de salaires, dans le monde du travail, n’existent pas entre les hommes, les femmes et les jeunes travailleurs.
«Au Congo, à diplôme égal, salaire égal ou à qualification égale, salaire égal. Nous sommes convaincus que l’attente de tous sera effective», a-t-il signifié.
L’audit participatif va sans nul doute permettre au mouvement syndical d’aider les gouvernements et les employeurs à intégrer la dimension de genre.
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