CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - L’ambassadeur de Chine en République du Congo, Guan Jian a signé le 24 novembre à Brazzaville, un accord portant sur l’octroi de 50 millions de francs CFA au parc national d’Odzala-Kokoua situé dans le département de la Cuvette-ouest, au nord-ouest du Congo.
«Cette contribution financière visant à soutenir la conservation des 13.500km2 de forêt tropicale que renferme le parc national d’Odzala-Kokoua, traduit dans les faits les engagements internationaux pris par le gouvernement chinois dans le cadre de la protection de l’environnement et de la promotion du développement durable de l’Afrique», a déclaré le diplomate chinois au terme de la signature de cet accord.
L’objectif poursuivi est la préservation des ressources naturelles et la protection de la biodiversité du parc d’Odzala-Kokoua qui appartient au massif du Bassin du Congo, deuxième poumon vert planétaire. Cet appui du gouvernement chinois vise aussi à lutter contre le braconnage des espèces protégées, notamment celui des pachydermes.
Selon cet accord, ce financement permettra de construire une route devant relier la nouvelle base du parc dans son secteur de l’Est, à la route nationale n°2 et de l’autre côté jusqu’à la rivière Mambili.
Les parties contractantes travailleront de commun accord afin de renforcer leur coopération dans la gestion du parc disposant d’une biodiversité exceptionnelle et de plus de 400 espèces d’oiseaux, 114 mammifères et plusieurs familles de primates, ainsi que des buffles.
L’un des bastions des éléphants, des lions et des gorilles de plaine en Afrique centrale, ce parc constitue l’une des zones sauvages les plus spectaculaires au monde. Il figure sur la liste des sites susceptibles d’être classés comme patrimoine de l’humanité par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).
L’objectif poursuivi est la préservation des ressources naturelles et la protection de la biodiversité du parc d’Odzala-Kokoua qui appartient au massif du Bassin du Congo, deuxième poumon vert planétaire. Cet appui du gouvernement chinois vise aussi à lutter contre le braconnage des espèces protégées, notamment celui des pachydermes.
Selon cet accord, ce financement permettra de construire une route devant relier la nouvelle base du parc dans son secteur de l’Est, à la route nationale n°2 et de l’autre côté jusqu’à la rivière Mambili.
Les parties contractantes travailleront de commun accord afin de renforcer leur coopération dans la gestion du parc disposant d’une biodiversité exceptionnelle et de plus de 400 espèces d’oiseaux, 114 mammifères et plusieurs familles de primates, ainsi que des buffles.
L’un des bastions des éléphants, des lions et des gorilles de plaine en Afrique centrale, ce parc constitue l’une des zones sauvages les plus spectaculaires au monde. Il figure sur la liste des sites susceptibles d’être classés comme patrimoine de l’humanité par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).
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