CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) – Le ministre des affaires foncières et du domaine public, Pierre Mabliala, a procédé le 2 octobre à Kintélé, dans la périphérie nord de Brazzaville, à la démolition des habitations qui empêchaient le démarrage des travaux de réalisation du projet ’’Terre d’Ecole’’. C'était en présence des ministres en charge de l’éducation et de l’agriculture.
Le projet «Terre d’Ecole» s’étend sur une superficie de 14
hectares et permettra aux enfants de retrouver leurs racines ancestrales
autour de la culture des plantes au sein de l’école et d’adopter des
attitudes visant à protéger leur environnement et à contribuer à
l’autosuffisance alimentaire du plus grand nombre. Sur le site où sera
réalisé ce projet, les inciviques domaniaux ont malheureusement implanté
leurs habitations, freinant ainsi le début des travaux.
«Nous sommes sur une réserve foncière de l’Etat, qui a été constituée depuis fort longtemps. A cette époque, il n’y avait pas de propriétaires fonciers. Tenant compte de ce projet, l’Etat, par le moyen d’un décret que le Président de la République a signé depuis le 14 février 2014, affectait ce terrain au projet «Terre d’Ecole». Il s’agit d’un terrain qui a une superficie de 14 hectares pour le besoin de la réalisation de ce projet. Mais, nous constatons qu’il y a eu une spoliation sur ce site. Nous sommes venus pour libérer le terrain et le mettre à la disposition du projet, qui ne fait que trainer», a indiqué Pierre Mabiala.
Son collègue Rigobert Maboundou de l'agriculture, a précisé que ce projet permettra aux jeunes qui sont dans les écoles d’être éduqués à la culture de la préservation de l’environnement et de l’amour des activités agricole. Le développement agricole n’impose pas simplement la formation au métier de l’agriculture, il impose aussi une forme d’apprentissage qui doit être ancré dans la culture des jeunes, a-t-il ajouté.
«Cette école qui sera implantée ici ne va pas simplement livrer des connaissances. Mais, elle aura une dimension travaux pratiques agricoles qui poussera les jeunes formés à aimer la terre», a martelé M. Maboundou.
La présidente de la fondation «Terre d’Ecole», Maria Maylin, a quant à elle signifié que ce projet représentera le socle commun éducatif du Congo. Il sera entouré d’un champ agricole et de la préservation de la nature. D’où l’importance de commencer les travaux. Le projet entrainera un renouveau au niveau de l’éducation congolaise, selon elle.
Apres la démolition des habitations par le buldozer, des soi-disant propriétaires terriens ont osé défier l’autorité de l’Etat allant jusqu’à porter mains aux gendarmes qui assuraient la protection de la délégation ministérielle. Ils ont été vite maitrisés et mis aux arrêts.
«Nous sommes sur une réserve foncière de l’Etat, qui a été constituée depuis fort longtemps. A cette époque, il n’y avait pas de propriétaires fonciers. Tenant compte de ce projet, l’Etat, par le moyen d’un décret que le Président de la République a signé depuis le 14 février 2014, affectait ce terrain au projet «Terre d’Ecole». Il s’agit d’un terrain qui a une superficie de 14 hectares pour le besoin de la réalisation de ce projet. Mais, nous constatons qu’il y a eu une spoliation sur ce site. Nous sommes venus pour libérer le terrain et le mettre à la disposition du projet, qui ne fait que trainer», a indiqué Pierre Mabiala.
Son collègue Rigobert Maboundou de l'agriculture, a précisé que ce projet permettra aux jeunes qui sont dans les écoles d’être éduqués à la culture de la préservation de l’environnement et de l’amour des activités agricole. Le développement agricole n’impose pas simplement la formation au métier de l’agriculture, il impose aussi une forme d’apprentissage qui doit être ancré dans la culture des jeunes, a-t-il ajouté.
«Cette école qui sera implantée ici ne va pas simplement livrer des connaissances. Mais, elle aura une dimension travaux pratiques agricoles qui poussera les jeunes formés à aimer la terre», a martelé M. Maboundou.
La présidente de la fondation «Terre d’Ecole», Maria Maylin, a quant à elle signifié que ce projet représentera le socle commun éducatif du Congo. Il sera entouré d’un champ agricole et de la préservation de la nature. D’où l’importance de commencer les travaux. Le projet entrainera un renouveau au niveau de l’éducation congolaise, selon elle.
Apres la démolition des habitations par le buldozer, des soi-disant propriétaires terriens ont osé défier l’autorité de l’Etat allant jusqu’à porter mains aux gendarmes qui assuraient la protection de la délégation ministérielle. Ils ont été vite maitrisés et mis aux arrêts.
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