CONGO BRAZZAVILLE, (CONGOSITE) - Le ministres d’Etat, ministre de l’économie, des finances, du plan, du portefeuille public et de l’intégration, Gilbert Ondongo, le ministre d’Etat, Mmnistre des transports, de l’aviation civile et de la Marine Marchande, Rodolphe Adada et celui des mines et de la géologie, Pierre Oba, ont paraphé le 24 juillet à Brazzaville, le document avec le directeur général de Congo Iron, Aimé Emmanuel Yoka.
Filiale de Sundance Ressources, la société minière, Congo Iron
ambitionne de produire 35 millions de tonnes par an dans le minerai de
fer au Mont Nabemba (département de la Sangha). Les premières
productions de fer sont attendues d’ici fin 2017.
«La signature de cette convention aujourd’hui va nous permettre de présenter ce document aux investisseurs car ils ont maintenant une bonne indication des termes qui vont régir la commercialisation du projet auprès des investisseurs. Avec le temps, Il faut prendre en considération l’inflation et le coût des différentes matières premières. Il y a toujours urgence à lever les fonds de manière assez rapide face à la concurrence avec les autres pays miniers qui sont producteurs. En termes d’investissement, Congo Iron aspire atteindre les 5 milliards de dollars (plus de 2.000 milliards FCFA)», a indiqué le directeur général de Congo iron.
Pour M. Gilbert Ondongo, la signature de convention constitue une manière pour le gouvernement d’accorder des avantages fiscaux et douaniers pour la réussite de ses activités en République du Congo.
«La première des garanties pour tout investissement c’est la sécurité d’investissement. L’Etat congolais offre à l’opérateur toute la sécurité nécessaire», a-t-il dit.
En effet, pour les gisements de la Sangha, Congo Iron et deux autres sociétés minières, notamment Avima Fer et Equatorial Ressources, le gouvernement prévoit la construction d’un chemin de fer dit de l’Ouest qui va s'étendre sur 1.500 km. Cette voie ferrée va partir du département de la Sangha à Pointe-Noire.
«La seule difficulté, ce sont les voies d’évacuation, car c’est une région où il n'y a pas de chemin de fer, ni de port. Dans un premier temps, leur production passera par le Cameroun», a signifié, le ministre des mines et de la géologie, Pierre Oba.
«La signature de cette convention aujourd’hui va nous permettre de présenter ce document aux investisseurs car ils ont maintenant une bonne indication des termes qui vont régir la commercialisation du projet auprès des investisseurs. Avec le temps, Il faut prendre en considération l’inflation et le coût des différentes matières premières. Il y a toujours urgence à lever les fonds de manière assez rapide face à la concurrence avec les autres pays miniers qui sont producteurs. En termes d’investissement, Congo Iron aspire atteindre les 5 milliards de dollars (plus de 2.000 milliards FCFA)», a indiqué le directeur général de Congo iron.
Pour M. Gilbert Ondongo, la signature de convention constitue une manière pour le gouvernement d’accorder des avantages fiscaux et douaniers pour la réussite de ses activités en République du Congo.
«La première des garanties pour tout investissement c’est la sécurité d’investissement. L’Etat congolais offre à l’opérateur toute la sécurité nécessaire», a-t-il dit.
En effet, pour les gisements de la Sangha, Congo Iron et deux autres sociétés minières, notamment Avima Fer et Equatorial Ressources, le gouvernement prévoit la construction d’un chemin de fer dit de l’Ouest qui va s'étendre sur 1.500 km. Cette voie ferrée va partir du département de la Sangha à Pointe-Noire.
«La seule difficulté, ce sont les voies d’évacuation, car c’est une région où il n'y a pas de chemin de fer, ni de port. Dans un premier temps, leur production passera par le Cameroun», a signifié, le ministre des mines et de la géologie, Pierre Oba.
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