
Le président cap-verdien Jorge Carlos Fonseca
Le président cap-verdien Jorge Carlos Fonseca, élu en 2011, a annoncé lors d'une cérémonie publique mercredi soir être candidat à sa propre succession au scrutin prévu le 2 octobre selon le calendrier électoral officiel.
"Je suis candidat à l'élection présidentielle du 2 octobre", a déclaré M. Fonseca, 65 ans, s'exprimant lors d'une cérémonie de présentation d'un recueil de ses discours officiels à Praia. "J'ai décidé de suspendre l'exercice de mes fonctions en tant que président de la République et être juste un candidat", a-t-il ajouté.
Jusqu'au scrutin, les fonctions de chef de l'Etat seront assurées par intérim par le président de l'Assemblée nationale Jorge Pedro Mauricio dos Santos.
La Constitution cap-verdienne stipule que le président de la République candidat à sa propre succession doit arrêter d'exercer ses fonctions officielles 60 jours avant la date du scrutin.
Jorge Carlos Fonseca, du Mouvement pour la démocratie (MPD, libéral), avait été élu au second tour de la présidentielle en août 2011 avec plus de 54% des voix face à Manuel Inocencio Sousa, du Parti africain de l'indépendance du Cap-Vert (PAICV, socialiste, ex-parti unique).
Selon des analystes, M. Fonseca part favori au scrutin en raison de sa popularité et du fait que l'actuel Premier ministre, Ulisses Correia e Silva, est de son parti. Au Cap-Vert, le régime est semi-parlementaire, l'exécutif étant dominé par le Premier ministre.
Ulisses Correia e Silva, vainqueur des dernières législatives, a prêté serment le 22 avril, mettant fin à la cohabitation qui existait alors depuis 2011 avec le PAICV, formation désormais dans l'opposition qui n'a pas encore annoncé de candidat au scrutin.
Un candidat indépendant battu à la présidentielle de 2011, Joaquim Monteiro, 75 ans, a annoncé qu'il se présentera de nouveau au scrutin.
Avant la présidentielle, le pays organisera le 4 septembre des élections municipales, selon un calendrier officiel.
Archipel lusophone d'Afrique de l'Ouest et ex-colonie portugaise (son indépendance a été proclamée en 1975), le Cap-Vert est réputé pour sa stabilité politique et sa bonne gouvernance.
"Je suis candidat à l'élection présidentielle du 2 octobre", a déclaré M. Fonseca, 65 ans, s'exprimant lors d'une cérémonie de présentation d'un recueil de ses discours officiels à Praia. "J'ai décidé de suspendre l'exercice de mes fonctions en tant que président de la République et être juste un candidat", a-t-il ajouté.
Jusqu'au scrutin, les fonctions de chef de l'Etat seront assurées par intérim par le président de l'Assemblée nationale Jorge Pedro Mauricio dos Santos.
La Constitution cap-verdienne stipule que le président de la République candidat à sa propre succession doit arrêter d'exercer ses fonctions officielles 60 jours avant la date du scrutin.
Jorge Carlos Fonseca, du Mouvement pour la démocratie (MPD, libéral), avait été élu au second tour de la présidentielle en août 2011 avec plus de 54% des voix face à Manuel Inocencio Sousa, du Parti africain de l'indépendance du Cap-Vert (PAICV, socialiste, ex-parti unique).
Selon des analystes, M. Fonseca part favori au scrutin en raison de sa popularité et du fait que l'actuel Premier ministre, Ulisses Correia e Silva, est de son parti. Au Cap-Vert, le régime est semi-parlementaire, l'exécutif étant dominé par le Premier ministre.
Ulisses Correia e Silva, vainqueur des dernières législatives, a prêté serment le 22 avril, mettant fin à la cohabitation qui existait alors depuis 2011 avec le PAICV, formation désormais dans l'opposition qui n'a pas encore annoncé de candidat au scrutin.
Un candidat indépendant battu à la présidentielle de 2011, Joaquim Monteiro, 75 ans, a annoncé qu'il se présentera de nouveau au scrutin.
Avant la présidentielle, le pays organisera le 4 septembre des élections municipales, selon un calendrier officiel.
Archipel lusophone d'Afrique de l'Ouest et ex-colonie portugaise (son indépendance a été proclamée en 1975), le Cap-Vert est réputé pour sa stabilité politique et sa bonne gouvernance.






Philippe Mvouo a fustigé cette pratique anti professionnelle, le 28 juillet, lors d’une rencontre spéciale avec les responsables des ONG et associations de défense des droits des journalistes. Dans son mot de circonstance, le président du Cscl a épinglé quelques journaux qui selon lui, s’illustrent dans cette mauvaise pratique, parmi lesquels, Le Manager Horizon ; La Griffe et Le Patriote.





Pour compter du 1er septembre 2016, les Burkinabè devront s’accommoder de nouvelles taxes créées par la nouvelle loi de finances rectificative. Il s’agit de : la taxe (retenue à la source libératoire) sur les gains des paris et des autres jeux de hasard ; la taxe à l’importation sur les véhicules de tourisme dont la puissance est égale ou supérieure à treize chevaux ; la taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties ; l’augmentation du taux de la taxe sur les boissons, notamment la bière.



Ces prix ont été décernés à l’issue d’une formation organisée du 13 juin au 12 juillet à Brazzaville, sur la thématique et la technique de la reproduction des émissions radiophoniques par l’Institut national de recherche et d’action pédagogiques (Inrap) avec l’appui du Fonds des nations unies pour la population (Fnuap). Cette formation s’inscrivait dans le cadre des échanges plus dynamiques entre des jeunes.
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