
Le ministre gambien de l’information, Sheriff Bojang, a réfuté les informations diffusées par la presse, selon lesquelles le gouvernement gambien aurait refusé de délivrer une licence au magnat des affaires nigérian, Aliko Dangote qui avait voulu implanter une usine de ciment dans le pays.
Réagissant à ces informations publiées mardi par APA news, des quotidiens sénégalais et nigérians et des sites de presse en ligne gambiens, Bojang, lui-même patron de presse et ancien journaliste, a réfuté cette information, affirmant qu’« il s’agit d’un manque d’éthique journalistique puisque c’est totalement faux et injustifié ».
« Tous ces medias citent une « source haut placée » anonyme qui aurait donné l’information. Je crois que cela est un subterfuge journalistique. Il y a un principe fondamental dans le journalisme qui dit que l’opinion peut être libre, mais les faits sont sacrés et dans ce cas, cet article est un mensonge pur», a –t-il ajouté.
Selon les medias, Dangote a déjà obtenu le terrain et a même commencé à mettre une partie de l’équipement de l’usine, mais que la mise en œuvre du projet a été bloquée.
Toujours selon la presse, la « source » a indiqué que la décision du gouvernement était destinée à protéger l’usine locale de ciment, Gacem, une filiale du groupe Italcementi dirigée par un ami du président Jammeh et que, par conséquent, Dangote a dû transférer l’investissement au Sénégal voisin.
Cependant le ministre de l’information, Bojang a démenti ces allégations. Il a expliqué que « l’Agence gambienne d’investissement m’a informé qu’elle a été approchée par le Groupe Dangote en 2011/2012 et que les discussions ont porté sur les investissements dans le sous-secteur de l’arachide, de la fabrication de jus et de la production d’électricité.
Il n’a jamais été question de ciment comme secteur d’intérêt pour le pays puisque la Gambie, contrairement au Sénégal, n’est pas réputée avoir les matières premières nécessaires pour une telle activité.
Les engagements sur les secteurs et les activités ci-dessus ont impliqué différentes visites des responsables gambiens au siège de Dangote et des hauts responsables de Dangote à Banjul, qui ont abouti à la visite en Gambie en février 2012, du vice-président du Groupe Dangote ».
Le ministre Bojang a déclaré que le moment de la publication de ces ‘’fausses » informations « est suspect » alors que le président gambien Yahya Jammeh est au Nigeria pour prendre part à la 48ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO et au 40ème anniversaire de l’organisation sous regionale.
Le ministre a affirmé que la Gambie est un havre d’investissement pour les Nigérians, ajoutant que « pas plus tard que la semaine dernière, le président Jammeh a souligné, lors d’un forum, que les Nigérians sont le plus gros investisseurs étrangers en Gambie. Et nous en tant que gouvernement encourageons et accordons une grande importance à l’intégration commerciale et régionale plus étendue ».
Réagissant à ces informations publiées mardi par APA news, des quotidiens sénégalais et nigérians et des sites de presse en ligne gambiens, Bojang, lui-même patron de presse et ancien journaliste, a réfuté cette information, affirmant qu’« il s’agit d’un manque d’éthique journalistique puisque c’est totalement faux et injustifié ».
« Tous ces medias citent une « source haut placée » anonyme qui aurait donné l’information. Je crois que cela est un subterfuge journalistique. Il y a un principe fondamental dans le journalisme qui dit que l’opinion peut être libre, mais les faits sont sacrés et dans ce cas, cet article est un mensonge pur», a –t-il ajouté.
Selon les medias, Dangote a déjà obtenu le terrain et a même commencé à mettre une partie de l’équipement de l’usine, mais que la mise en œuvre du projet a été bloquée.
Toujours selon la presse, la « source » a indiqué que la décision du gouvernement était destinée à protéger l’usine locale de ciment, Gacem, une filiale du groupe Italcementi dirigée par un ami du président Jammeh et que, par conséquent, Dangote a dû transférer l’investissement au Sénégal voisin.
Cependant le ministre de l’information, Bojang a démenti ces allégations. Il a expliqué que « l’Agence gambienne d’investissement m’a informé qu’elle a été approchée par le Groupe Dangote en 2011/2012 et que les discussions ont porté sur les investissements dans le sous-secteur de l’arachide, de la fabrication de jus et de la production d’électricité.
Il n’a jamais été question de ciment comme secteur d’intérêt pour le pays puisque la Gambie, contrairement au Sénégal, n’est pas réputée avoir les matières premières nécessaires pour une telle activité.
Les engagements sur les secteurs et les activités ci-dessus ont impliqué différentes visites des responsables gambiens au siège de Dangote et des hauts responsables de Dangote à Banjul, qui ont abouti à la visite en Gambie en février 2012, du vice-président du Groupe Dangote ».
Le ministre Bojang a déclaré que le moment de la publication de ces ‘’fausses » informations « est suspect » alors que le président gambien Yahya Jammeh est au Nigeria pour prendre part à la 48ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO et au 40ème anniversaire de l’organisation sous regionale.
Le ministre a affirmé que la Gambie est un havre d’investissement pour les Nigérians, ajoutant que « pas plus tard que la semaine dernière, le président Jammeh a souligné, lors d’un forum, que les Nigérians sont le plus gros investisseurs étrangers en Gambie. Et nous en tant que gouvernement encourageons et accordons une grande importance à l’intégration commerciale et régionale plus étendue ».




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Né le 9 mai 1957 à Ouahigouya dans la province du Yatenga, Salifou Diallo, plus connu par l’appellation Salif Diallo, est un homme bien connu du landerneau politique burkinabè depuis près de trois décennies.
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Cette coalition de l’opposition radicale dont les têtes d’affiche sont entre autres, André Okombi Salissa, Pascal Tsaty Mabiala, Claudine Munari, Guy Brice Parfait Kolélas et Charles Zacharie Bowao l’a fait savoir dans une déclaration qu’elle a rendue publique le 28 décembre à Brazzaville.